Oh! Ma Françoise, combien je suis triste d'apprendre ton départ. Toi qui a temps fait dans ta vie par l'amour de ce travail diffcile mais que tu aimais temps. Une femme courageuse qui a su partager, donner et aimer. Je t'ai toujours considérée comme ma soeur, nous avons partagé tellement de bons moments ensemble, il a fallu que cette sale maladie t'emporte loin des tiens et de nous beaucoup trop tôt. Combien je pense à Richard (riri) comme je l'appelle toujours, à tes enfants adorables, leurs femmes et tes petits enfants. Je suis pleine de chagrin car en ce moment je suis chez Émilie en Australie. Dans ma tristesse, je suis quand même heureuse d'avoir été te voir la veille de mon départ. Je garderai tout le restant de ma vie ce grand amour que j'ai eu pour toi. Mon cœur est en deuil mais maintenant cette souffrance dont tu ne te rendais plus compte va permettre à chacun de savoir que tu reposes en paix